Découvrez tout sur la Journée mondiale des sols, célébrée chaque 5 décembre : importance, événements et initiatives pour préserver cette ressource essentielle.
https://www.infos-nantes.fr/journee-mondiale-sols-5-decembre/

Découvrez tout sur la Journée mondiale des sols, célébrée chaque 5 décembre : importance, événements et initiatives pour préserver cette ressource essentielle.
https://www.infos-nantes.fr/journee-mondiale-sols-5-decembre/
La Journée mondiale du sol, célébrée chaque année le 5 décembre, vise à sensibiliser le grand public aux enjeux de préservation des sols. Le sol est une ressource fragile, confrontée à des défis majeurs tels que l’érosion, l’artificialisation, la perte de biodiversité et l’impact des pratiques agricoles intensives. Dans le cadre de cette journée, le CPIE Villes de l’Artois, en partenariat avec la Société Géologique du Nord et INRAE Hauts-de-France, organise une conférence sur la Vivre le sol et une animation à l’Université d’Artois.
Animation Université d’Artois de 12h à 16h avec la présence de l’unité INRAE d’Arras, le Laboratoire d’Analyses des sols
Le CPIE Villes de l’Artois et l’Université d’Artois, en collaboration avec INRAE Hauts-de-France proposent le temps d’une après-midi de sensibiliser les étudiants et professionnels de l’université sur cette thématique tout en offrant aux étudiants une meilleure compréhension des métiers liés à la gestion des sols.
La Communauté de savoirs Terres & Sols de l’IRD vous propose un webinaire :
Pollution des sols par les microplastiques : évolution du champ de recherche et interactions Sciences-Politiques, le mercredi 11 décembre, à 11h
Lien de connexion : https://ird-fr.zoom.us/j/97084370136?pwd=PBObacbXaRJKbD7wBwWIUY61wmMslj.1
La Démarche Alimentaire Territoriale (DAT) de Haute-Gironde organise ses 1ères rencontres « Du champ à l’assiette en Haute-Gironde ».
13H30 : Accueil café
14hH00 – 16h30 : Plénière présentant les travaux des 6 groupes de travail de la DAT
Présentation des travaux menés dans les 6 groupes de travail de la DAT :
Un référent de chaque groupe de travail synthétisera en 10 minutes les actions menées, en cours et prévues dans son groupe de travail. Des temps de questions – réponses sont prévus avec le public.
16H30 – 18H00 : Village des partenaires et goûter convivial
Plusieurs partenaires de la DAT de Haute-Gironde tiendront un stand pour communiquer sur leurs services et répondre à toutes vos questions. Ils seront répartis par pôle :
18H00 – 19H30 : Table ronde sur l’avenir de l’agriculture en Haute-Gironde
Thématique : Quelle agriculture demain en Haute-Gironde ?
Pour apporter des éléments de réponse à la question, Pascal CAGNATO animera une table ronde composée de 5 experts :
19H30 – 20H30 : Buffet de produits locaux offert par la DAT
INRAE restitue ce mercredi 20 novembre une étude sur la qualité des sols réalisée par un collectif de 19 chercheurs issus de 10 organismes de recherche et d’enseignement supérieur français et canadien dans le cadre d’un colloque ouvert au public et aux parties prenantes, après plus de deux ans de travaux. L’étude, financée par l’Ademe, l’OFB et les ministères en charge de l’Environnement et de l’Agriculture, dresse un état des lieux des connaissances scientifiques disponibles sur les indicateurs qui peuvent être mobilisés en appui des politiques publiques sur la préservation de cette ressource fondamentale. L’étude clarifie les différentes dimensions qui constituent la qualité et la santé des sols, liste une cinquantaine d’indicateurs qui permettent de les évaluer, et présente la manière dont on peut les mobiliser dans tous les secteurs.
À l’occasion de la Journée mondiale des sols le 5 décembre 2024 sur le thème cette année « Prendre soin des sols : mesurer, surveiller, gérer », de nombreux évènements auront lieu autour de cette date. Instaurée par l’ONU, cette journée vise à sensibiliser et rappeler l’importance de préserver les sols. Dans ce cadre, nos chercheurs participent à de nombreuses rencontres pour échanger autour de ces enjeux. Découvrez le programme (inscription jusqu’au 24/11).
https://www.ird.fr/journee-mondiale-des-sols-2024
Les vers de terre sont essentiels pour la vie du sol. Mais comment se développent-ils et comment faire pour en avoir plus encore au potager ?
Pendant que les pays discutent et négocient, les ONG et les experts tentent de les influencer. C’est ainsi que se passent les COP et la COP 16 sur la biodiversité, qui se tient en Colombie, n’échappe pas à la tradition. C’est ainsi que 140 ONG et scientifiques exhortent, dans un appel commun, les chefs de gouvernement des pays signataires de la convention à protéger tout particulièrement les zones humides. « Les zones humides ne couvrent qu’environ 6 % de la surface de la Terre, mais elles abritent 40 % de toutes les espèces végétales et animales connues », rappellent les signataires.
Victimes des pesticides et du labour, les lombrics sont pourtant des alliés de l’agriculture de demain, essentiels aux écosystèmes, explique Céline Pelosi, de l’Inrae.
Adoptée en première lecture à l’Assemblée en mai, avant que son parcours parlementaire soit interrompu par la dissolution de l’Assemblée nationale, la loi d’orientation agricole devrait revenir sous peu à l’agenda. Or, sa première version trahissait une vision de l’agriculture dépassée et vouée à l’échec, estime Xavier Planty, agriculteur et viticulteur, dans une tribune au « Monde ».
Les universitaires Alain Brauman et Marc-André Selosse, la sénatrice Nicole Bonnefoy et le député Richard Ramos appellent, dans une tribune au « Monde », à soutenir l’effort de l’objectif zéro artificialisation net prévu dans la loi Climat de 2021 après les reculades de Michel Barnier.
Le projet européen MINOTAUR (Modélisation et cartographie de la Biodiversité des sols et des fonctions associées à travers l’Europe) https://ejpsoil.eu/soil-research/minotaur, réalisé dans le cadre de l’EJP-Soil, s’intéresse à la perception de la biodiversité des sols par différents acteurs (agriculteurs, associations d’agriculteurs, consultant, conseiller, acteurs, décideurs politiques, …) et ce dans plusieurs pays européens.
Une enquête a été construite par les différents partenaires des différents pays impliqués dans MINOTAUR. Nous l’avons faite circuler à l’échelle européenne et à ce jour, très très peu de réponses françaises (dernière mise à jour : 184 Italie, 3 France…).
Si vous vous sentez concerné, vous pouvez répondre à cette enquête, qui dure entre 5 et 10 minutes maximum sur : https://forms.office.com/e/VeCUFr9Uvh
L’Alliance des sols des Pyrénées (ASPIR) organise du 12 au 14 novembre 2024 un séminaire technique du projet SOLPYR à Ax-les-Thermes (09). cf. le programme en PJ
SOLPYR est un projet Interreg POCTEFA porté par un consortium d’institutions regroupées au sein de l’Alliance des sols des Pyrénées.
Le volet concernant la dégradation des sols de montagne est piloté par le laboratoire Géosciences Environnement Toulouse et l’Université Toulouse III Paul Sabatier.
Aspir, reconnue par le Global Sol Partnership, est ouverte à toutes les personnes ou institutions œuvrant dans le domaine de l’étude et de la conservation des sols de la chaîne des Pyrénées. N’hésitez pas à prendre contact avec nous.
Soucieux de promouvoir une application juste, équilibrée et soutenable de la stratégie de sobriété foncière fixée en août 2021 par la loi Climat résilience, le Sénat a mis en place, au début de l’année 2024, un groupe de suivi transpartisan des politiques de réduction de l’artificialisation des sols.
Après six mois de travaux, ce rapport d’étape fait le constat de blocages et difficultés persistants dans les territoires, en dépit des assouplissements apportés par la loi d’initiative sénatoriale du 20 juillet 2023. Les collectivités se heurtent à une logique comptable et statique qui échoue à prendre en compte leurs spécificités, la diversité des dynamiques démographiques et économiques, mais également les choix et priorités de développement local.
Face aux rigidités et aux malfaçons du droit en vigueur, qui deviennent plus évidentes à mesure que la territorialisation se concrétise dans les documents régionaux de planification et que la date limite de modification des documents d’urbanisme se rapproche, le rapport d’information dessine plusieurs pistes d’évolutions législatives, réglementaires et de pratique administrative pour desserrer l’étau du ZAN.
Outre un accompagnement renforcé des collectivités de la part de l’État et la mise à disposition de nouveaux outils d’aménagement et d’urbanisme, le groupe de suivi préconise des pistes pour inverser la logique descendante de répartition des enveloppes foncières et s’interroge sur la cohérence, l’ampleur et le rythme de la réduction de l’artificialisation imposée aux territoires, face aux autres priorités nationales urgentes que sont notamment la résorption de la crise du logement et la relocalisation des activités industrielles.
https://www.senat.fr/notice-rapport/2024/r24-019-notice.html
Le 21 octobre était dédié à la Journée mondiale des vers de terre. Quelle drôle d’idée ! C’est une bonne occasion d’apprendre le rôle important du ver de terre dans la conservation des sols, mais aussi celui de vigie qu’il peut jouer vis-à-vis du climat.
https://nievre.fr/2024/10/22/sols-et-climat-nos-chers-vers-de-terre/
« Outre-mer, les batailles de la terre » (1/4). Cet insecticide massivement utilisé dans les bananeraies aux Antilles jusqu’aux années 1990 a durablement contaminé les sols et les cours d’eau, poussant cultivateurs et éleveurs à modifier leurs pratiques et à entamer une transition vers une agriculture durable.
Pierre et Jean-Martin Niesner, agriculteurs en Moselle, ont mis au point un bio stimulant innovant à base de roche volcanique. Ce produit pourrait permettre de réduire de 25 % l’utilisation des engrais chimiques, tout en améliorant la nutrition des plantes et en offrant une solution antifongique naturelle.
Les zones humides sont des réservoirs de vie en France et dans le monde !
Table-ronde animée par Isabelle Morand et Isabelle Vauconsant, journalistes, avec comme personnes invitées Eric Lenoir, paysagiste paysagiste et auteur du petit et du grand traité du jardin punk, et Céline Collin Bellier, pédologue.
Les discours actuels nous engagent sur « le stockage de carbone dans les sols et sous-sol », le « stockage » de l’eau pour l’irrigation, l’importance du « stockage » de carbone via la matière organique ; ils opposent les plantes cultivées aux « mauvaises herbes », la faune auxiliaire aux « parasites ».
Or tous ces éléments font partie d’un système dynamique ! Ainsi, les études montrent la nécessité de ré-augmenter les réserves (eau et éléments nutritifs, organiques et minéraux) ; elles confirment que ça n’est possible qu’en intégrant les différentes échelles temporelles et spatiales dans ce fonctionnement dynamique. Cette dynamique des flux va du microscopique au paysage, de la saison au demi-siècle.
L’objectif de ce Sommet est de donner des clefs pour que nous, acteurs du changement, puissions comprendre les cycles, accompagner les flux, afin d’ouvrir une voie pour permettre une agriculture nourricière.