Racines, champignons mycorhiziens, vers de terre et micro-organismes œuvrent collectivement à rendre le sol fertile, permettant de stocker l’eau et aussi le carbone. Marc-André Selosse professeur au muséum national d’histoire naturelle spécialisé en botanique et mycologie a décrypté tous ces mécanismes à l’occasion d’une journée sur l’agriculture de conservation des sols, organisée par la chambre d’agriculture des Pays de la Loire, à La Pommeraye (Maine-et-Loire) en décembre dernier.
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