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La salinisation des sols, un défi majeur pour la sécurité alimentaire mondiale

Les récentes projections démographiques de l’Organisation des Nations unies (ONU) prévoient que la population mondiale actuelle de 7,3 milliards d’habitants devrait atteindre 8,5 milliards en 2030 et 9,7 milliards en 2050. Par conséquent, pour fournir suffisamment de calories et de nutriments à une population plus nombreuse et de plus en plus urbaine, il faudra augmenter la production alimentaire mondiale de quelque 70 % entre 2005 et 2050, dont une grande partie devrait provenir de l’intensification de la culture de terres, de la conversion de forêts, de prairies et d’autres écosystèmes en terres arables, ce qui aura une incidence sur la biodiversité et les multiples services écosystémiques.

Les sols constituent l’un des écosystèmes les plus complexes et les plus variés au monde. En plus de fournir à l’humanité 98,8 % de sa nourriture, ils sont au cœur de nombreux enjeux sociétaux tels que l’accès à l’eau potable, le stockage du carbone, la régulation du climat, l’atténuation du changement climatique et la préservation de la biodiversité.

Cependant, l’intensification de la production agricole, les diverses pressions anthropiques et les changements climatiques modifient la capacité des sols à fournir ses nombreux services écosystémiques.

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https://theconversation.com/la-salinisation-des-sols-un-defi-majeur-pour-la-securite-alimentaire-mondiale-170347

Projet Bag’ages : « Il fallait objectiver les effets de plusieurs pratiques agroécologiques »

Adour-Garonne sera le bassin le plus exposé au changement climatique. Parmi les pistes de résilience : sa transition agroécologique. Le projet Bag’ages s’est penché sur les bénéfices attendus. Détails avec Lionel Alletto, directeur de recherche Inrae.

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https://www.actu-environnement.com/ae/news/projet-bagages-objectiver-effets-pratiques-agroecologie-38577.php4#xtor=ES-6

L’Europe se dote d’une stratégie sur les sols

La Commission européenne a présenté une stratégie en faveur des sols, avec une législation spéciale d’ici à 2023 à la clé. Objectif ? Que les sols européens soient restaurés, résilients et protégés d’ici à 2050. Sachant que 70 % d’entre eux sont dégradés.

La question des sols a longtemps été l’angle mort des politiques environnementales de l’Union européenne. « En Europe, il existe une directive-cadre sur l’eau, une sur l’air mais pour la terre ? Rien. Nos sols ne possèdent aucune protection juridique européenne. Pourtant, les enjeux autour de ce bien commun sont immenses », alertait France Nature Environnement (FNE) en 2017. L’ONG tentait alors, avec 400 organisations de la société civile dans toute l’Europe, de mobiliser le public…

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https://www.actu-environnement.com/ae/news/europe-strategie-sols-38567.php4#xtor=ES-6

Publication de la stratégie de l’UE pour la protection des sols

La stratégie de l’UE pour la protection des sols vient d’être publiée.

Vous pouvez la télécharger (en anglais), ainsi qu’un document associé explicitant le contexte de sa rédaction (contexte politique, législatif, problèmes à adresser, résultats de la consultation publique, etc.) sur :
https://ec.europa.eu/environment/publications/eu-soil-strategy-2030_en

La stratégie annonce notamment que la Commission présentera une proposition législative spécifique sur la santé des sols d’ici 2023.

Marcel Bouché : «Les vers de terre sont la première masse animale qui cohabite avec l’humain»

Pour Aristote, ils sont les «intestins de la Terre». Ils sont, en fait, tellement plus que cela : omniprésents, ils tiennent une place essentielle dans notre écosystème, et ne sont pas utiles qu’en appâts pour la pêche. Rencontre avec l’ancien directeur de recherche à l’Inra, jardinier de formation, qui les étudie depuis près de cinquante ans.

Lire l’article sur :
https://www.liberation.fr/idees-et-debats/marcel-bouche-les-vers-de-terre-sont-la-premiere-masse-animale-qui-cohabite-avec-lhumain-20211110_XBMYPBE6HBBX7FGO2ZFE554T3Q/

Cornelia Rumpel : « Les bonnes pratiques agricoles sont une des clés de la séquestration du carbone dans les sols »

Dans le cadre de la COP26 qui se tient à Glasgow jusqu’au 12 novembre, Futura vous propose une série d’entretiens avec des experts du climat pour décrypter le réchauffement climatique en cours, ses causes et ses conséquences, les risques auxquels nous devrons faire face si nous ne parvenons pas à maîtriser la hausse des températures et à ne pas dépasser les 1,5 °C, les solutions qui existent et celles à mettre en place. L’urgence climatique n’est pas un vain mot ! Aujourd’hui, nous donnons la parole à Cornelia Rumpel, chercheuse du CNRS à l’Institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris.

Lire l’article sur :
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-cornelia-rumpel-bonnes-pratiques-agricoles-sont-cles-sequestration-carbone-sols-94767/#xtor%3DRSS-8

« Face au dérèglement climatique, les pratiques agricoles ont un rôle majeur pour préserver la ressource en eau »

Dans le cadre de la COP26 qui se tient à Glasgow jusqu’au 12 novembre, Futura vous propose une série d’entretiens avec des experts du climat pour décrypter le réchauffement climatique en cours, ses causes et ses conséquences, les risques auxquels nous devrons faire face si nous ne parvenons pas à maîtriser la hausse des températures et à ne pas dépasser les 1,5 °C, les solutions qui existent et celles à mettre en place. L’urgence climatique n’est pas un vain mot ! Aujourd’hui, nous donnons la parole à Florence Habets, chercheuse du CNRS au Laboratoire de géologie de l’École normale supérieure.

Lire l’article sur :
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-florence-habets-face-dereglement-climatique-pratiques-agricoles-ont-role-majeur-preserver-ressource-eau-94686/

L’OFB et le Cerema coopèrent contre l’érosion des sols

L’Office français de la biodiversité (OFB) et le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) signent une convention-cadre afin de renforcer leur coopération pour la protection de la biodiversité.

Lire l’article sur :
https://www.environnement-magazine.fr/biodiversite/article/2021/09/13/136056/ofb-cerema-cooperent-contre-erosion-des-sols

JMS2021 – Ouverture des inscriptions

Ouverture des inscriptions pour les évènements de la Journée Mondiale des Sols 2021 :


Le 2 décembre : Trois webinaires à destination des acteurs scientifiques et techniques qui travaillent sur les sols au quotidien  pour aborder les enjeux de la connaissance et de la préservation des sols et des phénomènes de dégradation auxquels ils sont soumis.

Le 3 décembre : une conférence spéciale à destination des acteurs scientifiques et techniques sur la salinisation des sols, thème choisi par la FAO pour cette JMS2021.

Le 4 décembre : une rencontre grand public avec une sortie terrain, une conférence et l’inauguration de l’exposition Sols fertiles vies secrètes au Palais de l’Univers et des Sciences  (PLUS).

Le 7 décembre : une Séance plénière à Dunkerque à destination des décideurs locaux (élus, professionnels agricoles, gestionnaires d’espaces naturels, industriels, …) avec la synthèse des webinaires, l’intervention de la FAO et une table ronde politique pour faire ressortir un message clair sur les freins et leviers globaux pour aller vers une meilleure préservation de nos sols.

Le 7 décembre après-midi : Une conférence spéciale jeunes afin de faire partager aux étudiants les grands enjeux de la connaissance et de la préservation des sols.

Pour en savoir plus : https://www.afes.fr/actions/journee-mondiale-des-sols/journee-mondiale-des-sols-2021/

Mensuel de l’Académie d’agriculture de France n° 68 (novembre 2021)

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Le Mensuel

 

N°68 / Novembre 2021

 

À LA UNE

 

Anna                                                            Samoyloya -                                                            Unsplash

Le Varenne agricole de l’eau : une opportunité pour une agriculture durable 

Le Gouvernement a lancé en mai 2021 le « Varenne de l’eau et du changement climatique ». C’est une réelle opportunité car jusqu’à présent, les réflexions nationales ont surtout porté sur la contribution de l’agriculture à l’atténuation du changement climatique, en réduisant notamment les émissions. Dans le cas du « Varenne », il s’agit de trouver des solutions pour assurer la fonction nourricière de l’agriculture française et de la rendre plus résiliente face au dérèglement climatique. Les propositions d’adaptation doivent mobiliser des compétences pluridisciplinaires pour assurer la performance économique, environnementale et sociétale de l’agriculture.

En effet, l’agriculture est en pleine mutation. Après la Seconde Guerre mondiale, la production était déficitaire et des outils ont été mis en place pour assurer la souveraineté alimentaire de la France. Cette voie a engendré des dérives environnementales. Aujourd’hui, l’agriculture doit aller au-delà de sa fonction nourricière : nourrir en démontrant qu’elle contribue de manière significative aux objectifs de durabilité.

Anticiper le dérèglement climatique

Au niveau mondial, les agriculteurs sont « condamnés » à produire plus pour nourrir un monde de plus en plus peuplé. Et cette nécessité s’inscrit dans un contexte où le rendement de nombreuses espèces cultivées stagne à cause des effets du dérèglement climatique.

En outre, le dérèglement climatique constitue un frein à la mise en œuvre de l’agroécologie. En effet, les pratiques agroécologiques reposent sur la diversification des espèces. Comme pour les espèces qui nous nourrissent, la mise en œuvre de ces pratiques est également fortement soumise aux effets du climat, de plus en plus défavorables, et imprévisibles (sécheresse, excès d’eau, températures excessives, ou au contraire gélives et tardives, rayonnement trop faible…)

Tout va très vite, et il nous faut anticiper : comment la cartographie des espèces va-t-elle évoluer pour identifier par là même les adaptations dans les territoires ?

Accroître la disponibilité en eau

Accroître la disponibilité en eau constitue le levier le plus efficace car elle garantit la stabilité de la production et permet la diversification des espèces. Une solution serait de stocker une partie de l’eau qui tombe en excès pour irriguer sachant que l’eau d’irrigation retourne à l’atmosphère : imaginer en quelque sorte des fermes « eautonomes ». En outre, il est possible de recycler les eaux usées, recyclage qui concerne environ 0,6  % des usages de l’eau en France, contre 8  % en Italie, 14  % en Espagne et 80  % en Israël.

L’agroforesterie qui consiste à faire cohabiter des arbres avec des cultures est une voie à explorer : les racines des arbres descendent en profondeur et jouent le rôle « d’ascenseur hydraulique ». Et aussi, comme l’implantation de couverts permanents qui couvrent le sol, l’agroforesterie exerce un rôle de régulation des inondations.

Poursuivre les recherches en génétique

Sans le progrès génétique, le rendement de l’ensemble des espèces diminuerait. Il est donc primordial de continuer les recherches en génétique d’autant que les variétés récentes sont les plus efficientes vis-à-vis de l’utilisation des ressources.

Avec ces orientations, il devient possible de concilier production et agroécologie.

Philippe Gate, membre de l’Académie d’agriculture de France

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The Agricultural Water Varenne: an opportunity for sustainable agriculture

In May 2021, the Government launched the « Water and Climate Change Varenne ». This is a real opportunity because until now, national thinking has focused on agriculture’s contribution to mitigating climate change, particularly by reducing emissions. In the case of the « Varenne », it is a question of finding solutions to ensure the food function of French agriculture and to make it more resilient to climate change. The adaptation proposals must mobilise multidisciplinary skills to ensure the economic, environmental and societal performance of agriculture.

Indeed, agriculture is undergoing major changes. After the Second World War, production was in deficit and tools were put in place to ensure France’s food sovereignty. This path led to environmental drifts. Today, agriculture must go beyond its function as a source of food: to feed by demonstrating that it contributes significantly to the objectives of sustainability.

Anticipating climate change

At the global level, farmers are « condemned » to produce more to feed an increasingly populated world. And this is happening in a context where yields of many crops are stagnating due to the effects of climate change.

Moreover, climate change is a barrier to the implementation of agroecology. Agroecological practices are based on the diversification of species. As with the species that feed us, the implementation of these practices is also strongly subject to the effects of the climate, which are increasingly unfavourable and unpredictable (drought, excess water, excessive temperatures, or on the contrary frosty and late, too little radiation…)

Everything is moving very fast, and we need to anticipate how the mapping of species will evolve in order to identify adaptations in the territories.

Increasing water availability

Increasing the availability of water is the most effective lever because it guarantees the stability of production and allows the diversification of species. One solution would be to store part of the water that falls in excess for irrigation, knowing that the irrigation water returns to the atmosphere: imagine « eautonomous » farms. In addition, it is possible to recycle wastewater, which concerns about 0.6% of uses in France, compared with 8% in Italy, 14% in Spain and 80% in Israel.

Agroforestry, which consists of having trees cohabit with crops, is an avenue to be explored: the roots of the trees go down deep into the soil and act as a « hydraulic lift ». And also, like the establishment of permanent cover that covers the soil, agroforestry plays a role in regulating flooding.

Continued research into genetics

Without genetic progress, the yield of all species would decrease. It is therefore essential to continue genetic research, especially as recent varieties are the most efficient in terms of resource use.

With these orientations, it becomes possible to reconcile production and agro-ecology.

Philippe Gate, member of the French Academy of Agriculture

S. Houot (Inrae) rétablit les vérités quant à l’impact du digestat dans le sol

Sabine Houot, directrice de recherches à l’Inrae, tord le cou aux idées reçues sur la méthanisation et ses impacts sur le sol. En effet, les études l’affirment : le digestat a un effet positif sur la vie des sols.

Est-ce qu’en implantant un méthaniseur sur une exploitation, on diminue les ressources de matière organique à retourner au sol ? Certains parlent notamment de « décarbonisation des sols », qu’en est-il ? Sabine Houot, directrice de recherche à l’Inrae, nous éclaire à ce sujet lors d’une interview sur la Space TV de Web-agri :
https://www.web-agri.fr/methanisation/article/202031/s-houot-inrae-retablit-les-verites-quant-a-l-impact-du-digestat-dans-le-sol

Colloque sol et sciences participatives, 24 nov, cité des sciences de la Villette, Paris

Depuis une dizaine d’années, les recherches participatives sur les sols connaissent un véritable essor. Acteurs de la société civile et scientifiques ont fait émerger de nouveaux projets, certains portant sur l’identification des sols et de leurs fonctions, d’autres sur les variables physico-chimiques ou biologiques, certains ciblant les espaces urbanisés, d’autres tous les espaces. Dans ce contexte, il est apparu important de réunir cette communauté pour un temps de partage et d’échange, pour donner à voir les avancées des projets et leurs apports pour la recherche et la société, pour favoriser le travail en commun et la mutualisation des outils.

Un colloque intitulé « Des recherches participatives sur les sols : quel bilan ? Quels futurs ? » aura lieu en présence le 24 novembre 2021 à la Cité des sciences et de l’industrie à Paris. Plus d’infos sur : https://sondages.inrae.fr/index.php/453146?lang=fr

Agroécologie : La « litière forestière fermentée » deviendraelle le biofertilisant du futur ?

Depuis l’avènement de l’agriculture productiviste, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les sols agricoles sont sévèrement mis à mal. Des études estiment qu’en France, une surface agricole équivalente à un département moyen disparaît tous les dix ans : salinisation, érosion, compaction, artificialisation ou simplement déprise agricole.

Lire l’article sur :
https://www.20minutes.fr/planete/3151767-20211025-agroecologie-litiere-forestiere-fermentee-deviendra-biofertilisant-futur

Les cucurbitacées pourraient permettre de dépolluer les sols contaminés

Il y a dix jours, la Ville de Lausanne recommandait de ne pas consommer les cucurbitacées dans des zones identifiées après qu’une analyse des sols a révélé la présence de dioxine. Ce type de plantes, plus sensibles à certains polluants, pourrait être utilisé pour la décontamination des terres.

Les cucurbitacées absorbent mieux les polluants, tels que la dioxine, grâce à leur sève qui est différente des autres fruits et légumes. « Il y a une protéine spéciale qui s’accroche à ces polluants et qui les importe dans les fruits », explique Felix Kessler, professeur en physiologie végétale à l’Université de Neuchâtel, lundi dans La Matinale.
Courges, courgettes, potirons, mais aussi concombres et pastèques, toute la famille des cucurbitacées est concernée. Ces dernières ont en effet une capacité plus élevée à capter la dioxine et les polluants hydrophobes, difficiles à dissoudre dans l’eau et donc à extraire du sol.

Lire l’article sur :
https://www.rts.ch/info/sciences-tech/environnement/12591349-les-cucurbitacees-pourraient-permettre-de-depolluer-les-sols-contamines.html

Poitiers : la réserve naturelle du Pinail devient la 52e zone humide protégée par la convention Ramsar

La réserve naturelle du Pinail (Vienne) a été officiellement inscrite, vendredi 22 octobre, au titre de la convention internationale de Ramsar dans la liste des zones humides d’intérêt mondial. Le Pinail joue un rôle important dans la purification et le stockage de l’eau et la régulation du climat.

Lire l’article sur :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/vienne/poitiers/poitiers-la-reserve-naturelle-du-pinail-devient-la-52e-zone-humide-protegee-par-la-convention-ramsar-2306416.html

Bérangère Abba lance une mission pour identifier un douzième parc national consacré aux zones humides

Ce lundi 25 octobre, Bérangère Abba, secrétaire d’État à la Biodiversité, a lancé une mission visant à identifier, d’ici à la fin de 2021, « des sites d’intérêt national susceptibles » d’accueillir un douzième parc national consacré aux zones humides. Cette mission est confiée au Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD).
« La création d’un parc national dédié aux zones humides, prévue par la Stratégie nationale des aires protégées 2030, donnera une dimension nouvelle à la politique de préservation de ces milieux », souligne le ministère de la Transition écologique. Cette stratégie prévoit le doublement de surfaces en zones humides couvertes par des « aires fortement protégées ».
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Gisèle Jourda : « Personne n’a intérêt à ce que l’on sache que les sols sont pollués »

Alors que la France est largement concernée par la pollution des sols, cette question reste peu abordée par l’État. La sénatrice Gisèle Jourda a tenté, en vain, de faire passer plusieurs amendements pour protéger les sols. Elle regrette ici la « force d’inertie de l’État », qu’elle juge « défaillant » sur ce sujet.

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https://reporterre.net/Gisele-Jourda-Personne-n-a-interet-a-ce-que-l-on-sache-que-les-sols-sont-pollues