L’institut Agro et l’INRAE organisent à Rennes du 26 au 30 août 2024 le 18ème congrès de la Société européenne d’Agronomie (ESA). Ce congrès, qui a lieu tous les deux ans et dont le dernier s’est tenu à Postdam en 2022, regroupe des experts en agronomie des différents pays européens, mais également au-delà. 

La Journée mondiale des zones humides, célébrée le 2 février, est l’opportunité de découvrir et valoriser ces territoires aux nombreux bénéfices. En France, cet évènement est célébré pendant tout le mois de février. À l’occasion de l’édition 2024, consacrée à l’importance des milieux humides pour notre bien-être, des temps forts et des animations sont organisés, pour découvrir ces milieux et inviter à apporter une contribution citoyenne à leur restauration.

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https://www.ecologie.gouv.fr/journee-mondiale-des-zones-humides-2024

Trouvez les évènements organisés près de chez vous sur :
https://www.jagispourlanature.org/recherche?evenement=Journ%C3%A9e%20mondiale%20des%20zones%20humides%202024

Karolane Bourdon, doctorante à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval, montre que l’application de paille ou de copeaux de bois pourrait régénérer les sols et en restaurer le rendement.

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https://nouvelles.ulaval.ca/2024/01/18/contrer-la-disparition-des-sols-organiques-a-laide-de-paille-et-de-copeaux-de-bois-a:8130b73b-2c4e-4a54-afc2-d59b9514206a

En 2023, un partenariat de l’IRD avec Universcience a permis l’inclusion de la thématique « Sols » dans la programmation de la Cité des sciences et du Palais de la découverte.

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https://www.ird.fr/les-sols-au-coeur-du-dialogue-science-societe-en-ile-de-france

Fondée en mai dernier par trois chercheurs de l’Inrae Sophia Antipolis, l’agri-tech spécialisée dans les solutions de biocontrôle pour protéger les plantations mise sur les acariens, prédateurs du sol, pour préserver les cultures maraîchères des nuisibles.

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https://region-sud.latribune.fr/innovation/2023-12-21/evolutive-agronomy-quand-les-acariens-viennent-a-la-rescousse-des-plantations-maraicheres-986382.html

Entre 2009 et 2021, 300 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers ont été artificialisés. Plus des deux tiers ont été affectés au développement de l’habitat, selon l’Insee.

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https://www.agri71.fr/articles/11/01/2024/L-habitat-principal-responsable-de-l-artificialisation-des-sols-93975/

Les plastiques sont le résultat de la combinaison de polymères, qu’ils soient synthétiques ou naturels, avec des additifs. Depuis les années 1950, leur développement a connu une croissance exponentielle et continue. En raison de leurs caractéristiques fonctionnelles, de leur légèreté, de leur durabilité et de leur coût relativement bas, ils sont largement utilisés dans divers secteurs industriels, tels que l’emballage, l’industrie automobile et l’agriculture, pour n’en nommer que quelques-uns. Il est estimé que moins de 9 % des déchets plastiques produits ont été recyclés, et moins de 12 % ont été incinérés. Le reste, soit environ 5 milliards de tonnes sur la période de 1950 à 2015, a été soit enfoui dans des décharges, soit abandonné dans l’environnement naturel.

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https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/livre-blanc/contamination-des-sols-par-les-plastiques-et-les-microplastiques-130676/

Une équipe de chercheurs américains a mis au point une nouvelle pile à combustible qui tire son énergie des microbes vivant dans le sol. Cette technologie, de la taille d’un livre de poche standard, pourrait alimenter des capteurs souterrains utilisés dans l’agriculture de précision et l’infrastructure verte, offrant une alternative durable et renouvelable aux batteries.

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https://www.enerzine.com/une-pile-a-combustible-alimentee-par-les-microbes-du-sol/82276-2024-01

L’Autorité environnementale considère que la politique publique de lutte contre les nitrates d’origine agricole est dans une situation sans issue. Dans une note délibérée, elle formule une nouvelle fois des recommandations pour améliorer la situation.

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https://www.actu-environnement.com/ae/news/lutte-contamination-nitrates-agricoles-note-deliberee-autorite-environnementale-politique-publique-impasse-43266.php4#ntrack=cXVvdGlkaWVubmV8MzQ1MA%3D%3D

Marc-André Sélosse est professeur au Muséum d’histoire naturelle de Paris et à l’Institut universitaire de France. Considéré comme l’un de nos meilleurs experts des sols, il estime prioritaire de stocker naturellement le carbone sous nos pieds.

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https://www.lavoixdunord.fr/1417535/article/2024-01-11/sols-et-neutralite-carbone-la-cle-pour-le-co2-c-est-la-matiere-organique

Racines, champignons mycorhiziens, vers de terre et micro-organismes œuvrent collectivement à rendre le sol fertile, permettant de stocker l’eau et aussi le carbone. Marc-André Selosse professeur au muséum national d’histoire naturelle spécialisé en botanique et mycologie a décrypté tous ces mécanismes à l’occasion d’une journée sur l’agriculture de conservation des sols, organisée par la chambre d’agriculture des Pays de la Loire, à La Pommeraye (Maine-et-Loire) en décembre dernier.

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https://www.terre-net.fr/agriculture-de-conservation/article/860741/pourquoi-un-sol-vivant-est-plus-resilient

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https://www.cerema.fr/fr/actualites/sols-au-coeur-strategies-nature-ville

On estime aujourd’hui que 70 % des écosystèmes terrestres (libres de glace) ont été transformés par rapport à leur état naturel, et que 35 % des terres sont utilisées à des fins agricoles. En raison de pratiques inadaptées, un cinquième (soit plus de 2 milliards d’hectares) est par ailleurs désormais considéré comme dégradé. Si cette détérioration se poursuit à un rythme similaire, il y aura près d’un milliard d’hectares supplémentaires de terres dégradées d’ici à 2030, ce qui équivaut au total mondial des engagements de restauration des pays.

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https://theconversation.com/pour-sauver-nos-systemes-alimentaires-restaurer-nos-sols-en-sequestrant-le-carbone-212820

Très prolifique sur la problématique de l’artificialisation, le Sénat a tenu ce 13 décembre, au sein de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable, une table ronde consacrée à la santé des sols. Disposer de référentiels territoriaux pour évaluer l’état écologique des sols et leur multifonctionnalité constitue un enjeu essentiel pour améliorer le suivi de l’artificialisation, lutter contre le changement climatique et préserver la biodiversité.

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https://www.banquedesterritoires.fr/sante-des-sols-un-sujet-qui-monte-qui-monte-au-sein-des-politiques-publiques

Là où plus aucune vie ne semble possible, certaines plantes font preuve d’une résilience étonnante. Sur des sols industriels contaminés par des substances toxiques, ces plantes sont capables de les absorber et de les stocker dans leurs tiges et leurs feuilles. L’équipe d' »Élément Terre » est allée à la rencontre des scientifiques qui commencent à percer leurs secrets.

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https://www.france24.com/fr/%C3%A9missions/%C3%A9l%C3%A9ment-terre/20231222-des-plantes-pour-gu%C3%A9rir-les-sols-pollu%C3%A9s

À l’université de technologie de Compiègne, une doctorante étudie une créature fascinante : un champignon capable de dépolluer les sols contaminés aux hydrocarbures. Pour l’instant expérimentale, cette technologie est en train d’être domptée pour pouvoir être utilisée d’ici à quelques années.

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https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/oise/compiegne/depolluer-les-sols-grace-a-un-champignon-des-chercheurs-de-compiegne-mettent-la-science-au-service-de-l-environnement-2893781.html

La vitesse d’artificialisation des sols aurait ralenti d’environ 30 % depuis 2015. Plusieurs phénomènes expliqueraient ce phénomène.

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https://www.paysansdelaloire.fr/articles/03/01/2024/L-artificialisation-des-sols-a-ralenti-depuis-dix-ans-90649/