Journée Technique du RISPO
USINE OVADE
de Bourg-en-Bresse (01400 Viriat)
VISITE et CONFÉRENCES
Mardi 28 mars 2017
de 11h00 à 17h00
Programme complet et inscription
Programme complet et inscription
Ne manquez pas le colloque de restitution des travaux de recherche du programme SITERRE sur la construction de sols fertiles à partir de matériaux recyclés urbains.
La construction de sols est une filière naissante et en devenir. Les partenaires du consortium de recherche, ainsi que de nombreux invités vous présenteront les enjeux, les détails de la mise en œuvre, les opportunités et les leviers à activer pour développer cette nouvelle pratique qui permet de végétaliser la ville, avec les matériaux issus de la ville.
Du 27 au 31 mars 2017 à Montpellier SupAgro, Formation sur l’Ecologie du Sol, dont les objectifs sont doubles :
Le jeudi 9 février 2017 de 16h00 à 17h30
Delphine Derrien, chargée de recherche INRA, Biogéochimie des Ecosystèmes Forestiers, INRA Nancy-Lorraine
& Marie-France Dignac, chargée de recherche INRA, UMR Ecosys, Grignon
Stocker du C dans les sols : mécanismes, pratiques et modèles. Contributions du collectif CarboSMS
Le stockage de C dans les sols, enjeu du programme « 4 pour 1000 », est la conséquence de mécanismes biotiques et abiotiques se produisant à des échelles spatiales fines.
Ce webinaire fait la synthèse des discussions qui ont été menées par le collectif CarboSMS (Carbone du Sol, Mécanimes de Stabilisation). Il fera le point sur l’état des connaissances concernant les mécanismes fins de la dynamique du C des sols. Il abordera l’impact des pratiques agricoles sur ces mécanismes. Enfin des pistes de recherche seront avancées pour une meilleure prise en compte dans les modèles d’évolution de stock de C des sols.
Pour s’inscrire au webinaire : https://attendee.gotowebinar.com/register/2446616062061362689
Colloque organisé le 22 février à l’AgroParisTech par la Fondation René Dumont sur le thème des pays, paysans et paysages.
Programme ci-dessous.
|
Voir ce Mensuel sur le site de l’AAF
n° 19 – février 2017 |
Nous sommes heureux de vous adresser le n° 19 (février 2017) du Mensuel de l’Académie d’agriculture de France.Ce mensuel d’information vous informe en temps réel sur les activités, les évènements et les partenaires de notre Compagnie. Nous souhaitons notamment qu’étudiants, enseignants et chercheurs soient ainsi incités à découvrir la richesse en informations du site internet de l’Académie : vidéos des séances publiques du mercredi, publications et avis des académiciens, colloques, analyses de thèses et d’ouvrages récents, notes de recherche de thésards,… Nous souhaitons que vous nous envoyiez des informations que vous désireriez faire connaître à tous (écrire à Michel-Claude Girard). Nous vous souhaitons une bonne lecture. Le comité de rédaction.
|
Edito :
La mise en place de la nouvelle répartition des compétences en matière de gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (loi Gemapi ), et celle des compétences territoriales (loi Nôtre), oblige les acteurs des territoires à réfléchir de manière plus prégnante à la question de l’intégration des services « écosystémiques » (c’est-à-dire des bénéfices que tire la société de la nature), dans les politiques et projets d’aménagement. Cette question est d’autant plus importante que la nécessité de développer et ou de maintenir des activités économiques compatibles avec le respect de la nature et le bon fonctionnement écologique des milieux dans les territoires est indispensable.
Cette problématique de l’intégration des services écosystémiques acquiert donc une dimension forte et parfois centrale dans la mise en oeuvre des politiques de gestion de l’eau et de la biodiversité, mais également dans la construction de projets d’aménagement dans des contextes de forte urbanisation d’espaces naturels.
Ce numéro se veut le reflet des recherches menées dans le cadre du projet « Ecosystem Services Networks » (ESNET) dont l’objectif était de mieux appréhender les dynamiques et les enjeux des services écosystémiques dans les projets de territoires, d’en comprendre les ressorts et les interactions. Ces résultats apportent des éléments de connaissance permettant aux acteurs des territoires de mieux prendre en compte dans leurs projets de planification territoriale les enjeux écologiques et de mieux en évaluer les impacts.
Les membres du groupe “ Techniques culturales innovantes ” abordent la production agricole avec de curieuses pratiques. Comme de compter les lombrics.
Curieux agriculteurs, qui passent deux heures le nez collé à des mottes de terre, malgré la pluie et le vent qui commence à forcir sur cette plaine beauceronne. « C’est de la bonne ! » s’exclame l’un d’eux en rigolant avant de passer à son voisin ce fragment de terre de prairie, qui exhale des arômes de sous-bois. D’autres examinent à la loupe les habitants souterrains de ces mottes, recensent leurs galeries, s’interrogent sur leur nombre…
Et si notre corps était une véritable machine à produire de l’engrais ? Chaque jour, l’humanité produirait jusqu’à 7 millions de tonnes d’urine. Une substance organique, riche en azote et en phosphore, qui représente un fertilisant efficace pour l’agriculture.
A voir sur : https://www.actu-environnement.com/ae/news/urine-or-vert-fertilisant-agriculture-28275.php4#video&xtor=EREC-107
L’urine est déjà utilisée dans certains pays, notamment en Afrique, pour la culture vivrière. Mais une difficulté se pose pour exploiter cette ressource à grande échelle: comment séparer l’urine des autres eaux usées, toutes mélangées lors du raccordement au tout-à-l’égout. Une solution : la séparation à la source grâce à l’installation de toilettes permettant de distinguer le type de déjections. Cette alternative est pour l’instant au stade expérimental et implique de se détacher de l’habitude du raccordement tout-à-l’égout.
Autre contrainte : l’ammoniaque contenue dans l’urine. Pour cela, un laboratoire Suisse a inventé la nitrification. Un procédé de traitement simple qui permet de stabiliser l’urine et de ne conserver que l’azote et le phosphore sous forme concentrée.
Le secteur agricole ne serait pas seul à bénéficier de la valorisation de cette ressource insoupçonnée. Extraire le phosphore de l’urine permettrait de limiter l’exploitation de mines de phosphate dont les gisements sont limités. D’autre part, prélever l’urine pour en faire de l’engrais permettrait de l’exclure du circuit classique de traitement en station d’épuration et ainsi de réduire la quantité de micropolluants rejetés dans la nature.
Le 2 Février 2017 au Lycée de Carpentras-Serres aura lieu la 1ère
édition des rencontre de l’Agriculture et du Paysage, qui aura pour
thème l’amélioration de la fertilité des sols avec des techniques plus
durables.
Une formation sur la modélisation géochimique en relation avec les sols
pollués dont le programme est ci-dessous.
|
||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
![]()
Ce mardi 31 janvier a lieu à Orléans une journée thématique consacrée à l’érosion, au colmatage et à l’envasement au sein des masses d’eau. Les informations se trouvent dans la plaquette ci-dessous. L’inscription est gratuite mais indispensable au lien suivant :
Une page dédiée aux SOLS a été mise en ligne dans le Système d’information du développement durable et de l’environnement du ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer.
Ce dossier thématique fournit de nombreuses ressources (données, chiffres clés, publications, bibliographies, infographies, ressources web, etc.) afin de mieux comprendre les enjeux et d’avoir une vision globale des sols en France.
A travers une initiative citoyenne européenne, lancée avec plus de 400 organisations et coordonnée en France par France Nature Environnement, une législation spécifique qui protège efficacement les sols des pollutions et de la pression foncière est réclamée.
Le compteur tourne : 1 million de signatures doivent être recueillies d’ici le 11 septembre. Si ce n’est pas encore fait, signez l’Appel du Sol.
Le Réseau Action Climat annonce la publication du second chapitre d’une bande dessinée en ligne visant à sensibiliser le grand public aux changements climatiques et aux actions qui permettent de sauvegarder le climat au quotidien. Le second chapitre de cette « web-BD », consacré à l’alimentation, est accessible ici :
https://reseauactionclimat.org/planetman/planetman-a-table/
Quelques jours avant les repas de noël, le Réseau Action Climat publie un nouveau chapitre qui permet de montrer comment notre alimentation a un impact majeur sur nos émissions de gaz à effet de serre. Planetman nous accompagne pour manger des repas savoureux et bons pour le climat.
Le numéro 106 de la Lettre est paru et disponible sous ce lien :
http://us13.campaign-archive1.com/?u=3e1e906f17ea255e46108f085&id=7bc7e84ac3&e=7f241008c3
Au programme :