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Plus d’infos sur : https://www.afes.fr/actions/journee-mondiale-des-sols/journee-mondiale-des-sols-2021/
Les inscriptions seront ouvertes le 8 novembre
Plus d’infos sur : https://www.gissol.fr/non-classe/journee-les-20-ans-du-gis-sol-5559
Les inscriptions sont ouvertes !
« La restructuration du foncier existant dans les territoires, qui freine la consommation d’espaces et limite l’étalement urbain, constitue un objectif prioritaire de notre action, en tant qu’elle contribue à la lutte contre l’artificialisation des sols et à l’atteinte, en 2020, du zéro artificialisation nette », explique le gouvernement dans une circulaire adressée aux préfets le 30 août dernier mais publiée seulement le 20 octobre.
Lire la suite de l’article sur :
https://laprovince-francaise.fr/7892/10/une-circulaire-prcise-comment-restructurer-le-foncier/
Accéder à la circulaire du 30 août 2021 relative à la contractualisation et à la planification locale pour lutter contre l’artificialisation des sols :
https://www.bulletin-officiel.developpement-durable.gouv.fr/documents/Bulletinofficiel-0032098/TERB2118777C.pdf
La loi Climat et résilience présente dans son article 191 l’ambition française en matière de lutte contre cette artificialisation destructrice :
« Afin d’atteindre l’objectif national d’absence de toute artificialisation nette des sols en 2050, le rythme de l’artificialisation des sols dans les dix années suivant la promulgation de la présente loi doit être tel que, sur cette période, la consommation totale d’espace observée à l’échelle nationale soit inférieure à la moitié de celle observée sur les dix années précédant cette date. Ces objectifs sont appliqués de manière différenciée et territorialisée, dans les conditions fixées par la loi. »
Au regard de cet objectif ambitieux, il semble opportun d’évaluer les conditions de sa réalisation et les efforts économiques qui y sont associés ; et, si ces efforts ne sont pas consentis en pratique, quel niveau de dette écologique cela peut générer.
Lire la suite de l’article sur :
https://theconversation.com/limiter-lartificialisation-des-sols-pour-eviter-une-dette-ecologique-se-chiffrant-en-dizaines-de-milliards-deuros-166073
THOMAS, jeune consultant international, reçoit une proposition d’un
bailleur international souhaitant investir 1 million d’euros dans le
développement rural. Il doit utiliser cet argent dans le cadre de
l’accord de Paris sur le climat, le secteur agricole et à Madagascar.
Les politiques internationales et la coopération entre États incitent
des bailleurs à investir dans des projets de développement industriels,
environnementaux ou agricoles. Ces projets sont souvent de grande
ampleur et les sommes d’argent élevées. La portée et les conséquences
sur les populations peuvent être importantes. Comment et avec qui
définir de tels projets ?
Selon le type de projet, l’implication des populations dans la
conception varie. Pour les projets agricoles, les populations peuvent
être consultées à travers les collectivités locales ou des ONG de
développement rural locales et internationales. Les scientifiques des
institutions ou universités nationales, en collaboration ou non avec des
scientifiques étrangers sont parfois également consultés.
Cette histoire s’inspire de projets de recherche et de développement
rural à Madagascar. Il s’agit d’une fiction ayant pour unique objectif
de faire réfléchir sur l’aide au développement international. Elle
illustre la complexité des problèmes à résoudre et la difficile
recherche de solutions efficaces. Les réseaux de personnes impliquées
ont volontairement été simplifiés pour plus de clarté.
Alors comment agir ? avec qui ? quels sont les objectifs souhaitables ?
comment utiliser au mieux l’argent de la coopération ? Qui est légitime
pour décider ?
Participer à la BD interactive sur :
www.carolinegaujour.com/bd-ird/
Demain, 21 octobre , c’est la méconnue et mésestimée journée des vers de terre.
Extrait de https://www.journee-mondiale.com/624/journee-mondiale-des-vers-de-terre.htm :
« Si il y a bien une journée qui a eu du mal à faire son trou dans le calendrier des journées mondiales, c’est bien celle des vers de terre !
Et pourtant, elle est tout à fait sérieuse. En tant que journée mondiale proprement dite, elle existe depuis 2016 et a été promulguée à l’initiative de la toute aussi sérieuse Earthworm Society of Britain, que vous pouvez librement traduire par Société anglaise des vers de terre…
Si on creuse encore un peu, on peut aussi remonter à Darwin, dont s’était l’animal favori et auquel il a consacré de nombreuses années d’études. Il avait d’ailleurs publié, en 1881, un éloge au ver de terre. »
Quelques autres lectures sur :
https://www.lejardinvivant.fr/2020/10/04/21-octobre-journee-mondiale-des-vers-de-terre/
http://montpellier-infos.fr/index.php/bons-plans/bon-a-savoir/27310-le-21-octobre-ce-sera-la-journee-mondiale-des-vers-de-terre
https://ecobiosoil.univ-rennes1.fr/news/le-21-octobre-cest-la-journee-mondiale-des-vers-de-terre.html
Et à écouter :
https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-de-constance/la-chronique-de-constance-du-mardi-19-octobre-2021
Un peu loin des sols, mais clin d’œil à notre premier client viticole (voir notre Livre d’Or !), engagé dans la préservation de la biodiversité et la lutte écologique. Une philosophie commune avec Solenvie, qui nous pousse à revenir les voir, pas aussi souvent qu’on le voudrait, mais on se console régulièrement avec leurs vins…
A lire sur : https://www.sudouest.fr/vin/vin-grand-cru-classe-de-sauternes-le-chateau-guiraud-vendu-6624930.php
Découvrir Château Guiraud sur : https://www.chateauguiraud.com/
Emission C dans l’sol du 26 octobre 2021 à 20h30
« Dans la forêt, quand les branches se querellent, les racines s’embrassent. » Proverbe africain
Jusqu’à présent l’émission C dans l’sol s’est consacrée aux sols agricoles, où tout va très vite.
En quoi les sols agricoles et forestiers sont différents ? Portent-ils les mêmes enjeux ? Quelles précautions doivent prendre les forestiers pour préserver leurs sols ?
Penser la forêt c’est forcément penser le temps long. Cette règle induit-elle de la part du forestier une autre manière d’aborder la question du sol ? Le forestier est-il plus sensible aux enseignements de son sol ?
Autant de questions que l’animateur Frédéric Denhez se fera un plaisir de poser à l’invitée, Noémie POUSSE.
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Personne ne s’intéresse vraiment aux vers de terre, et pourtant, ils sont indispensables à notre survie. Actuellement en voie de disparition, ils ne peuvent plus oxygéner la terre comme avant, ce qui menace notre mode de vie.
Peut-être avez-vous remarqué que l’on croise de moins en moins de vers de terre dans nos jardins ces dernières années ? Il y a une raison à cela, les lombrics sont en voie de disparition, notamment à cause des pesticides qui polluent les sols. Les vers de terre ont pourtant un rôle plus important qu’on ne le pense dans la santé de nos sols, car ils rendent la terre fertile et l’oxygènent. Sans eux, les conséquences pour la planète pourraient donc être importantes.
Ces petits êtres à la physionomie peu avantageuse se retrouvent menacés par l’épandage de pesticides et l’agriculture intensive. Auparavant nombreux dans nos champs, ils sont aujourd’hui en déclin ou ont quasiment disparus. Et ce n’est pas une bonne nouvelle, car sans eux, la terre meurt, et notre nourriture avec. Tout comme les abeilles, dont la pollinisation est essentielle au bon fonctionnement de la planète, les vers de terre sont importants pour oxygéner les sols et faire fonctionner l’écosystème. Au final, notre survie dépend aussi des vers de terre, alors qu’ils ne sont pas reconnus comme animaux dans la loi française.
Lire la suite de l’article sur :
https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/articles/263058-les-vers-de-terre-sont-en-voie-de-disparition-avec-des-consequences-importantes-
Quelles seront les conséquences du réchauffement climatique sur la biodiversité de nos montagnes ? C’est ce que tentent de prédire plusieurs chercheurs du laboratoire d’écologie alpine, entre les Hautes-Alpes et l’Isère, grâce à l’opération « alpages volants ».
« C’est une opération coup de poing », selon Jérôme Poulenard. Membre du laboratoire EDYTEM et professeur à l’université Savoie Mont-Blanc, il participe à l’opération « alpages volants » avec une dizaine d’autres chercheurs. Leur objectif : simuler un réchauffement climatique d’environ deux degrés afin d’observer son impact sur la biodiversité.
« L’intérêt est de comprendre comment le milieu est capable, ou non, de réagir au changement climatique très brutal qui a lieu en ce moment », affirme Jean-Gabriel Valay, le directeur du Jardin du Lautaret.
Lire la suite de l’article sur :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble/photos-dans-les-alpes-des-chercheurs-deplacent-des-tonnes-de-terre-pour-simuler-les-effets-du-rechauffement-climatique-2293690.html
Clin d’œil à Elisol qui a suivi une formation avec Solenvie !
Extrait de https://www.elisol.fr/fosses-pedologiques/ :
Les analyses biologiques sont généralement réalisées dans la strate de surface, le plus souvent 0-20 cm, zone ou la matière organique est la plus abondante et où se concentre la majorité des organismes du sol. Toutefois, il est évident que connaitre d’autres caractéristiques du sol, au-delà de cette strate, peut être utile pour les interprétations des analyses biologiques. L’étude des sols est le plus souvent réalisée par l’analyse de profils de sols observables suite à la réalisation de fosses pédologiques (creusées manuellement ou grâce à des engins), ces profils permettent de connaitre la profondeur du sol et de caractériser les différents horizons ainsi que la nature du sol. Une méthode plus accessible consiste à effectuer des sondages à la tarière pour ensuite réaliser la description des sols.
Dans l’objectif de pouvoir mieux prendre en compte la nature des sols dans l’interprétation des analyses du fonctionnement biologique des sols, Camille Chauvin s’est initié à la description de profils de sols « sur le terrain » avec Céline Collin-Bellier du bureau d’étude SOLENVIE. Durant 3 jours, 14 sondages de sol à la tarière ont été réalisés permettant l’analyse de profils de sols variés. Au cours de ces analyses, les différentes méthodes de caractérisation des sols ainsi que la nomenclature des sols ont été passées en revue.
Notre sol est essentiel à la survie du monde. Il le porte, le nourrit et le protège. C’est lui aussi qui assure la fertilité de nos océans, qui régule le cours de nos rivières et qui modifie notre climat.
Le sol est construit par la biodiversité qu’il héberge : elle représente le quart des espèces connues, alors même qu’on ne connaît encore que 1 % des microbes du sol ! Ceux-ci vivent et se nourrissent de façons incroyablement variées, qui assurent le fonctionnement des écosystèmes terrestres et la vie des racines.
Cependant, méconnaissant le sol, qui nous paraît opaque et sale, nous n’avons pas appris à en prendre soin. Urbanisation, agricultures inadaptées, salinisation, pollution… sont autant de facteurs qui l’abîment.
Dans son livre L’origine du monde publié chez Actes Sud, Marc-André Selosse nous invite à un magnifique périple souterrain entre les composants du sol et sa vie débordante. Il nous fait découvrir la partie souterraine et méconnue des plantes.
Comment transmettre des sols intacts aux générations futures ?
En comprenant ce sol que nous piétinons, nous retisserons notre lien perdu au monde naturel.
A lire et écouter sur :
https://www.franceinter.fr/emissions/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-mardi-12-octobre-2021
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Le cycle du phosphore est bien différent de celui de l’azote, même si les deux sont apportés en tant que fertilisants sur les cultures. Il se mobilise plus difficilement dans les sols. Pour autant, la plante a mis en place des stratégies pour s’approvisionner de cet oligo-élément, indispensable à la vie.
À l’inverse de l’azote qui peut se créer dans le sol avec les légumineuses, le phosphore est une ressource qui ne se crée pas, a entamé Philippe Hinsinger, chef du département Agroécosystème de l’Inrae, lors d’une conférence le 23 septembre au salon Tech&Bio. Il ne peut s’agir que de transfert de fertilité d’un sol à un autre. » Cartes à l’appui, il évoque les transferts de phosphore d’une région du monde à une autre, entraînant des inégalités de fertilité. « Les phosphates naturels sont une ressource limitée et pourtant gaspillée depuis qu’ils sont utilisés comme fertilisant, c’est-à-dire depuis plus de 100 ans », souligne-t-il. En effet, 50 quintaux de blé à l’hectare représentent 14 kg de phosphore exportés. Au vu des quantités apportés par les agriculteurs, de l’ordre de 40 à 60 kg/ha en Europe, les doses utilisées sont bien trop importantes.
Lire la suite de l’article sur :
https://www.terre-net.fr/observatoire-technique-culturale/strategie-technique-culturale/article/trois-moyens-de-mobiliser-le-phosphore-dans-les-sols-217-202107.html
La réponse à la question de Sébastien sur The Conversation Junior nous
en apprend beaucoup sur le fonctionnement respiratoire du lombric.
La réponse est à lire sur:
theconversation.com/sebastien-comment-les-vers-de-terre-font-pour-respirer-dans-la-terre-168716
Louise Tschanz et Olivier Buisine proposent une analyse de la législation européenne encadrant la pollution des sols. Ils démontrent sa complexité et appellent à la création d’un statut juridique du sol et d’un cadre renforçant droits et protection.
Lire l’avis d’expert sur :
https://www.actu-environnement.com/blogs/louise-tschanz/345/pollution-sols-qui-responsable-474.html
Quand a-t-on commencé à s’intéresser aux sols ? Que sait-on de leur biodiversité ? Quelles sont les couches qui les composent ? De quoi sont constituées leurs parties minérales et organiques ? Est-ce que les sols, par leur rôle de puits de carbone, pourraient limiter le réchauffement climatique ?
Nous cheminons jour après jour en périphérie du cœur de la vie et pour être plus précis, nous le piétinons.
Si les sols abritent une biodiversité encore largement méconnue, ils sont aussi un espace de production de ressources vitales, de filtration des eaux ou encore de stockage de gaz à effets de serre.
Malgré les rôles clés joués par cet inframonde d’une infinie variété où s’articulent des symbioses complexes, de nombreuses dégradations pèsent sur les sols, faisant émerger de nombreuses menaces écologiques.
« Sols : les pieds sous terre », c’est l’anti politique de l’autruche que nous vous proposons dans l’heure qui vient. Bienvenue dans “La Méthode scientifique” !
Écouter l’émission sur :
https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/sols-les-pieds-sous-terre